Le jeu du placard présente : Dead Or Alive Xtreme 2

Sorti de mon placard personnel après son achat en 2007, je vais vous raconter l’histoire du jeu Dead Or Alive Xtreme 2, un jeu édité par Temco et développé par Team Ninja. Ce spin off du célèbre jeu de baston nippon nous propose farniente et jeux en tout genre sur une île appartenant à Zack. Ce joyeux luron a trouvé le trésor des pharaons, il devient donc à nouveau milliardaire. Zack passe une sorte de contrat avec une entité supérieure et celle-ci fait resurgir de l’océan cette île paradisiaque, que certains joueurs ont pu rencontrer dans le titre Dead Or Alive Xtreme Beach Volleyball.

Zack prétexte l’arrivée du prochain tournoi d’arts martiaux sur cette île et lance les invitations d’usage aux combattants. Mais ce filou invite seulement les plus jolies plastiques de la licence, non pas pour des combats, mais plus pour diverses confrontations, shooting photos et autres plaisir en tout genre. Ces jeunes filles au nombre de sept se rendent donc sur cet archipel et une fois la supercherie dévoilée, profitent de vacances bien méritées en réalisant des activités durant 15 jours. Trois sessions de minis-jeux nous sont donc proposées, une le matin, une dans l’après-midi et une autre en soirée. Voici la liste des succès disponibles :’

• Courses de jet-ski (3 pistes différentes)
• Match de beach-volley (match en 7 points)
• Descente de toboggan aquatique
• Tir à la corde
• Bataille de popotin
• Saute piscine
• Jeu de drapeaux

Ces activités se révèlent assez complexes à maîtriser au début avec une IA redoutable dans certaines, mais deviennent doucement accessibles afin de gagner de l’argent.

Toboggan

La nuit sera propice à une visite au casino ou à un repos bien mérité. Dans le casino, plusieurs jeux d’argent sont disponibles, la roulette, le poker, le black-jack et les bandits manchots.

Mais que faire de cette monnaie ? Offrir des cadeaux aux résidentes, des maillots de bain et divers accessoires afin de les embellir encore plus et augmenter votre cote de popularité apparaissant sous forme de notes de musique. Ces offrandes prodigueront amitié, afin de former des duos et naturellement des cadeaux en retour. Mais attention, vous devrez trouver leur péché mignon afin de les mettre à nue et qu’elles apprécient vos attentions, au risque de les voir partir de cette colonie de vacances. Vous pouvez aussi faire plaisir à vos personnages en achetant des tenues, vernis et autres que l’on pourra admirer dans les jeux et lors de shooting improvisé ou encore acheter un jet-ski plus puissant.

Les graphismes sont respectables pour l’époque et la plastique de ces héroïnes toujours aussi bien modélisées. Un atout de charme incontournable au sein de cette saga éponyme malgré quelques soucis avec la loi de l’attraction universelle de Isaac Newton ! La bande-son signe respectueusement les vacances avec des chansons pop et reggae, notamment des titres comme le titre « Summer Breezing » interprété par la douce Diana King, « Is This Love » de Bob Marley ou encore « Double Lovin » sous un air de l’ancien jeu télévisé Intervilles. Le titre a reçu des notes assez moyennes à sa sortie, notamment centré sur ces filles « légèrement » dénudées ainsi que ses mini-jeux répétitifs et assez ardus.

Pour les réalisations de ce jeu, je félicite, haut et fort ceux et celles qui ont réussi à débloquer un seul de ses succès au nombre de 46. En effet, ces succès demandent « tout simplement » de collectionner de nombreux maillots de bain qui coûtent des sommes indécentes. Un travail de longue haleine présentant sans soute plus de 200 heures de jeu, le plaçant pour moi et mon esprit de chasseur à un des pires jeux commercialisé sur Xbox 360.