Cette semaine, attaquons-nous aux succès de Rayland ! Édité par Eastasiosoft Limited et développé en tandem par Eastasiosoft Limited et Naoka Games, ce jeu est un casse-tête, mais pas forcément synonyme de migraine ! Le but est d’agencer des miroirs et de les faire pivoter, jusqu’à ce qu’un rayon lumineux atteigne une cible. Fiat lux !
Succès party
Le titre se compose de 42 niveaux. D’ailleurs si l’envie vous prend d’en rejouer un en particulier (pour épater la galerie par exemple), vous pouvez y accéder directement via le menu. Et ça, on adore !
Vous devrez glaner 12 succès avant d’atteindre les 1000 G. Le dernier s’obtient en terminant le niveau 30. Au-delà, libre à vous de continuer à vous torturer l’esprit.
Rayland augmente graduellement en intensité et en difficulté. En effet, plusieurs cibles et émetteurs s’ajoutent, puis des cubes viennent mettre la pagaille sur le plateau.
Au niveau 22, le défi commence à devenir franchement corsé et dès le 23e, la diffraction des lasers fait son apparition… au risque de déclencher quelques céphalées !
Montre en main, comptez entre 30 et 45 minutes pour terminer le jeu. Tout dépendra de votre fraîcheur d’esprit évidemment, mais si vous avez festoyé toute la nuit, nous vous conseillons d’attendre un peu pour vous y mettre.
Au doigt et à l’oeil
La mécanique de gameplay est vraiment minimaliste et vous ne disposez que de trois commandes pour tout faire : pour agripper les miroirs, pour les déplacer et pour les faire pivoter.
Graphiquement, le jeu s’inspire des références du genre en 2.5D et alterne effets de moirage et reflets ponctuels pour simuler le relief. C’est joli et plutôt sobre, bien qu’un peu répétitif.
La bande-son n’est pas en reste et a surtout le mérite de ne pas aggraver d’éventuels maux de tête…
Vous pouvez acquérir Rayland en promotion sur le Microsoft Store à 3,99 €.
Nous remercions l’éditeur de nous avoir fourni une version dématérialisée de Rayland.